Rencontre [Hashiro K.]

Cela faisait environ 3 jours que Kyosuke était arrivé dans le groupe de Mystère. Sa chambre comportait de lit double à baldaquin. il savait donc qu'il aurait un colocataire, mais ce dernier n'avait pas encore pointé le bout de son nez. tant mieux, se disait-il, il n'était pas très apte à partager sa chambre avec quelqu'un. Froid, voire glacial, il était très difficile de le comprendre et de le supporter. tous ceux qui avait tenté l'affaire avait rapidement abandonné. Depuis longtemps maintna,t Kyosuke se contentait de faire son boulot d'assassin. Et un assassin ne peu pas avoir d'amis...car bien souvent, ces mêmes amis finissent par attérir sur les listes d'excecutions.

De plus, lorsque l'on à des ennemis, bien souvent, ces derniers cherche le points faible du combattant...et l'entourage en était un enorme. Voila pourquoi Kyosuke refusait de s'attacher. Et d toute façon, il lui était impossible de le faire désormais. emmuré dans sa solitude, il ne savait plus comment agire avec les autres.

Il était environ 15 heure, et Alice, la jeune Directrie, lui avait annonçée l'arrivée de son colocataire. Au début, il avait pensé à sortir avant qu'il n'arrive. Mais n'étant pas de nature à se défiler il était resté allongé sur son lit. Le regard fixé sur la toile du baldaquin. Vétu d'une simple chemise blanche à manches longues et d'un jean noir, il attendait patiemment...

J'arriva devant la porte de ma chambre. Je l'ouvris puis entra. Je vu qu'il y avait alors quelqu'un sur le lit. Je m'excusa, puis sorti en fermant la porte derrière moi. Je vérifia alors le numéro de la chambre. Je ne m'étais pas trompé. C'était bien la. Je rentra alors de nouveau. Visiblement, je devrai partager ma chambre avec quelqu'un d'autre. Enfin c'était ce quelqu'un d'autre qui devrai partager sa chambre avec moi.

"Désolé, je croyais que je m'étais trompé de chambre. On ne m'avait pas prévenu que je devrai partager la chambre avec quelqu'un d'autre."

j'alla alors déposer mes affaires sur mon lit, puis je m'approcha de l'homme qui était allonger sur le sien.

"Enchanté, je me présente. Hashiro Kaisen, le nouveau professeur de Biologie."

Je lui souris alors en lui tendant la main, en espérant que ce silence gênant se brise...

Kyosuke laissa le silence envahir la pièce. Il aimait bien ces moments durant lesquels il ne se passait rien. Il ne s'ennuyait jamais. Il trouvait toujours un moyen d'oublier la solitude en se plongeant dans ses pensées. Son esprit était constamment en activité et même lorsqu'il dormait, le moindre bruit le tennait aux aguets. Il était intouchable et n'avait pas de points faibles. Malgré cela, il n'était qu'un simple kendôka qui n'était pas immortel. Et sa vie, il y tennait. il avait bon nombre de compte à régler.

La poignée de la porte tourna et quelqu'un entra, s'excusant platement de s'être trompé, il resortit aussitôt. Kyosuke ne broncha pas et resta allongé à fixer le plafond, ses longs cheveux tombant en cascade de l'autre côté du lit.
L'homme entra de nouveau et annonça qu'il pensait s'être trompé. kyosuke répondit sans un sourire, avec une neutralité déconcertante sans même un regard pour l'inconnu.

" Seule la directrice à sa chambre privée. Je suppose que tu es prof vu que tu partage ma chambre. "

Il finit par se redressé, il avait tout de même une certaine notion de la politesse. Il saisie donc la main tendue en guise de salutation. Le jeune homme ne tarda pas à acquiéser ses dires, il était bel et bien prof.

" Kyosuke Kitaru. Professeur de Kendô "

Visiblement, cet homme avait l'habitude de rester seul, et il devait aimé cela. Sa voix était étonament neutre, comme si il était détaché de tout, comme si rien ne le concernait. Il ne m'accorda même pas un regard quand j'entra dans la pièce. Cependant, il se releva tout de même et me serra la main, sans esquisser le moindre sourire, en se présentant. Il disait s'appelé Kyosuke Kitaru. Lui aussi était un professeur. Même si nos matière étaient radicalement différente, nous n'en restions pas moins collégue. Voyant que mon colocataire restait impassible, j'alla ranger mes affaires.

"Alors comme ca vous êtes aussi professeur? Vous permettez que je vous tutois?"

J'avais fini de ranger mes affaires. Ayant parcouru la ville pour trouver le lycée, je décida de me changer, mes vêtements puant la transpiration. Je sortis alors un costard de mon armoire, puis entrepris de me déshabiller. Je revêtis mon costard, puis alla chercher mon sabre.Je m'assis alors sur mon lit et je l'inspecta alors de font en comble. une fois satisfait, je le posa à côté de moi...

Oui...Kyosuke était très peu sociable depuis cette nuit ou tout avait basculé. Il avait été dressé pour ne rien ressentir. Il avait appris à tuer sans que ses sentiments ne l'en empêche. La nuit était son alliée et le silence son frère. Sa famille n'existait plus pour lui...il l'avait oublié en oubliant qui il était vraiment. Son maître avait tout fait pour cela. Il était une machine à tuer. Un assassin et rien d'autre. D'ailleurs, il s'acquittait de cette tâche à merveille et ne cherchait pas à être compris. Il ne se comprennait déjà pas lui même. Il ne pouvait pas demander l'impossible à des inconnus.

" Oui. "

Que répondre d'autre à une question comme celle ci. Rien. Aux yeux du jeune Kendokâ, la parole n'était utile que lorsqu'elle permettait de comuniquer des choses utiles. et pour lui, faire connaissance n'avait pas grande utilité. Il fallait le comprendre sur ce point. il ne pouvait pas se permettre de mettre les autres en danger. Ni d'ouvrire une brèche dans sa défense morale. Mais comme personne ne le connaissait vraiment...personne ne pouvait faire le rapprochement et tous se vexait de son attitude et finissait soit par s'enerver, soit par se taire. au plus grand bonheur de Kyosuke qui ne se rendait pas compte de son erreur...Les amis ne sont pas toujours des fardeaux comme il l'avait appris.

Je me leva alors. Je pris mon sabre en main, posant la lame sur mon épaule. Je m'approcha alors de Kyosuke.

"Dis moi, si tu es professeurs de Kendo, tu dois bien t'y connaître en arme blanche. Que penses tu de cette arme"

Je lui tendis alors mon sabre pour qu'il l'examine. Ce sabre est une arme peut banal. En effet, c'est une fusion entre un pisotlet et une épée, surnommé Gunblade par le gouvernement. Seul leur meilleur élément en posséde une. J'attendis patiement que Kyo me donne son avis. En attendant, je découvrai la chambre. Elle était constitué de deux lit en baldaquin. Les murs étaient tapissés dans les ton rouge orangé, et la baie vitré éclairer vraiment très bien la pièce. D'ailleurs, la clarté qui reignaient dans les chambres contrastait un peu avec l'obscurité qu'il y avait dans le batiment. Il y avait également deux armoires et deux bureaux, et malgrès tout il restait encore assez de place pour se mouvoir librement. Décidément, le lycée ne se moquait pas de ces pentionaires. A moins que seul les professeurs n'aient de tels chambres. Je me leva et alla inspecter la salle de bain. Elle était aussi assez vaste. Il y avait deux lavabos, une douche et une baignoire. La pièce était totalement carrelé de blanc et bien éclairer. Vraiment le grand luxe par rapport à ce que j'avais vécu dans le centre. Je retourna ensuite m'assoir pret de Kyo, attendant son avis...

Le jeune homme finit alors par se relever et s'approcha de kyosuke. La lame de son arme appuyée sur son épaule. Il avait bien entendu pris soin de la posée du côtés non tranchant. Il la tendis à Kyosuke pour demander son avis. Le jeune homme la saisie, ce genre d'arme était bien moins maniable qu'un sabre japonais comme portait Kyosuke. Il l'observa, toujours aussi neutre.

" Je n'ai jamais vu ce type d'arme...En règle général, il y'a trois catégories qui classe les armes blanches: Les armes dites légère, les intermédiaire, et les armes lourdes telles que les Zambatô par exemple. La votre fait partie de la troisième catégorie "

Il marqua une pause durant laquelle le jeune Hashiro visitait un peu les environs. Kyo repris son estimation peu à après. Il était rare qu'il parle autant. Mais ce qu'il disait ne dévoilait rien de sa personnalitée...à part peut être sa connaissance en armes blanches...

" En général, les armes lourdre sont difficile à manier et offre de plus grande ouvertures à l'adversaire lorsque l'on porte un coup...mais le fait qu'elle soit alliée d'une arme à feu élimine ce point faible...Il ne reste que le manque d'aisance lors de son maniement...mais je suppose que tu as suffisament de force pour t'en servire corectement...bien que la largeur de la lame diminu considérablement ta vitesse d'attaque... "

Il la reposa sur le lit de son colocataire. toujours aussi neutre. Et retourna s'allonger sur son lit. Son sabre était dans son fourreau, appuyé contre le mur à côté de son lit. Mais Hashiro ne pourrait pas le toucher sans se bruler...

J'écouta attentivement les paroles de mon collocataire. Jamais je n'aurais cru qu'il puisse parler autant. D'après lui, mon arme faisait parti des armes lourdes. Réputées pour être difficile à manier et permettre de nombreuse ouverture à l'ennemie. Cependant, étant fusioné à un revolver, ce dernier point pouvait être oublié. Il restait alors un dernier point. La forme de la lame diminuait, d'apère Kyo, la vitesse de frappe. Il posa alors la lame sur mon lit, et retourna s'allonger dans le sien. Je pris alors mon arme et l'accrocha dans mon dos.

"Effectivement, tu t'y connais vraiment bien en sabre. En tout cas je te remercie de m'avoir donner ton avis. Mais rassure toi, je ne manque pas d'aisance du tout en la maniant. Je la trouve très légére par rapport à sa forme. Enfin, moi, le poids d'une arme ne m'importe peu, je peux absolument toute les maniers à mon aise. Toute, sans exception... Par contre je suis d'accord avec toi, la forme de ma lame ne me conviens pas très bien. Que puis-je faire pour l'améliorer d'après toi?"

Je fis face alors au mur ou était accroché le sabre de Kyo, je m'approcha pour le regarder de plus pret, me mettant accroupis. Il était merveilleusement dessiner. Ces courbes avaient l'air parfaire, mais comme il était dans son foureau, je ne pouvais contempler toute l'arme. Je me releva en me tourna vers Kyo.

"Toi aussi tu as un très belle arme. C'est un Katana non? j'aime bien se genre d'arme. Précise, rapide, tranchante, très maniable... Parfaite pour les missions ou la discrétion et de rigueure... Je peux la prendre?"

Kyosuke n'était pas des plus bavard. Mais lorsqu'on lui donnait son avis, il le donnait. du moment que cela n'avait rien à voir avec son passé ou sa personnalitée quelque peu complexe. Il n'avait rien à cacher après tout. Mais il est vrai que, se montrant habituellement très froid, il avait du surprendre Hashiro en lui parlant aussi précisemment de ce qu'il savait au sujet de l'arme que ce dernier portait. Kyosuke ne s'y connaissait pas tant ça, mais il avait pris soin d'étudier chacunes des armes de ses adversaire avant de les cobattre, afin d'en desceller le moindre points faible. Il était très observateur et voyait le moindre détail qui aurait pu échapper à un novice.

" Hum...Je n'en doute pas. Mais de toute façon, tu auras largement l'occasion de le prouver ici. Et puis, l'important est que tu connaisse ton arme...Quanhd au fait que tu sache toutes les manier aisément. Détrompe toi. Il y'à des armes que tu ne pourra jamais dompter. "

Oui...il faisait bien sur allusion aux armes à maître unique. celles qui, forgées avec le ceur et l'esprit des meilleurs forgerons, avait la capacité de choisir leur maître. Comme vivante, elles semblaient même les comprendre et s'adaptait parfaitement à leurs poigne.

" Je ne sait pas ce que tu pourrait y faire..à part la faire refondre pour l'affiner. Mais si elle est trop fine, elle ne pourra plus supporter la puissance de tir. Et elle risque de se fissurr à l'interieur de la poignée. "

Son maître forgeait lui même ses armes autrefois. L'arme de Kyosuke avait d'ailleurs été forgée par cet homme. Et le métal de sa lame était un alliage entre plusieurs métaux....et du sang.

" Non...c'est un sabre japonais, les katanas sont plus courts...et se trouvent entre les kodachis et les sabres tels que celui la. Cela dit....je ne te conseil pas de le toucher si tu tiens à la peau de ta main "

En effet, ce genre d'arme ne changeait pas de maître...et une fois qu'elle l'avait choisi, elle était comme scéllée et n'en acceptait plus aucun autre. Même si Kyosuke voulait vendre son arme, il ne le pourrait pas car il était lié à elle...sa lame était constituée de son propre sang.

J'écouta de nouveau mon collocataire, comme un élève écoute son maître, faisant attention à tout ce qu'il disait.

"Oui, excuse moi tu as raison. Il reste des armes que seul un seul être au monde peut manier. Mais je ne parle pas de ce type d'arme... D'ailleur, si tu me déconseil de toucher à la tienne, c'est qu'il doit sagir de l'une d'entre elle... Eh bien je vais suivre ton conseil, j'en ai déjà fais l'expérience, et c'est franchement très désagréable comme sensation."

Je baissa alors mes yeux sur ma main, regardant la cicatrice de sa dernière tentative. Même en ayant transformer ma peau en acier, j'avais été sérieusement bruler. je sortis alors de ma rêverie.

"Pour revenir à mon arme, elle est vraiment très complexe apparament, je n'avais pas réfléchis à ce problème. Ca ne me ressemble pas... Et si je faisait racourcir la longueur de la lame? non sa ne marcherai pas non plus... Je dois alors apprendre à la manier à la perfection. Je m'en sort pas trop mal avec, mais je suis encore lui de la maîtriser totalement..."

Je me retourna alors vers Kyo.

"Dis, tu veux bien me montrer ton arme? S'il te plait Kyoooooooooooo..."

Kyosuke resta allongé sur son lit, écoutant vaguement ce que racontait son nouveau colocataire. Il se souvenait du jour où cette arme avait été forgée. Il avait 10 ans. Son maître forgeait toutes sortent d'armes pour les vendres, il avai aussi beaucoup de commande. Un jour, son maître lui avait dit de s'approcher alors qu'il était en train de produire un alliage pour créer une nouvelle arme. Ordinairement, Kyosuke n'avait jamais eu le droit de le regarder faire. Alors il ne s'était pas méfié. Trop fasciné par cet ouvrage. Il regardait avec attrait le métal fondu qui tourbillonait dans un enorme recipients de fonte. Son maitre lui avait alors vivement attrapé le poignet et avait sectionner ses veine au niveau de la pliure de son bras. Lissant couler le sang dans l'alliage; Kyosuke se rapellait de la douleur ressentit à cette epoque...il en portait encore la marque. Son maître aait toujours tous fait pour qu'il ne renonçe pas à devenir un assassin hors pair. Et, lorsque ce dernier mourru sans rien lui laisser, sauf cette arme que lui seul pouvait toucher...il n'eu autre choix que de tuer pour survivre. Parce qu'il ne pouvait même pas revendre ce sabre.

" Oui...C'est l'une d'entre elles...en effet...je n'en ai jamais vue d'autre "

Il se redressa, et saisit le fourreau de l'arme lorsque le jeune homme lui demande de la lui montrer. Il la sortis de son étuis métallique et la posa sur le lit. Sur la lame avait été gravé un motif floral dans lequel se mélait les lettres du prénom de Kyosuke...

" Tient "

Je contempla alors se chef d'oeuvre. En effet, ce sabre était une véritable oeuvre d'art. Ca place devrait être derrière une vitrine, exposé à la vue de tous. Mais eu lieu de ca, elle était utilisé pour commettre des meurtres. Il faut dire aussi qu'elle avait le profil pour. Aiguisée à souhait, tranchante comme une lame de rasoir, maniable, légére, rapide, très bien dessiné. Elle avait vraiment tout pour elle. J'aime se genre de sabre, mais je préfére me battre avec le sabre d'Alice, pour ne pas oublier pour quoi et pour qui je me bat... Je sortis alors de ma contemplation.

"C'est vraiment une très belle pièce. Tu as bien de la chance."

Je lui tourna alors le dos et partis dans l'armoire. Je sortis alors une veste que j'enfilla. Je pris mon porte feuille et le foura dans ma poche. Je retourna ensuite pret de Kyo.

"Kyo, un verre ca te dis? C'est moi qui paye le premier."

Je mis alors mes lunettes de soleil noire afin de cacher mes yeux rouges sang en attendant une réponse de la part de mon colocataire...

Cette lame avait accompagné Kyosuke durant 8 ans. Elle l'avait suivit constamment et l'avait aidé à commetre les pires atrocitées. Kyosuke était loin d'être un enfant de coeur. Il le savait et ne cherchait pas à changer cela. Le gouvernement payerais, c'était tout ce dont il était sur. Peu importe le nombres de vies qu'il devrait supprimer pour y parvenir. Peu importe combien de litre de sang il devrait faire couler pour attindre son but. Mais un jour, il retrouverais ces soldats, qui avait attaqué de nuit et par surprise en se disant loyaux. Kyosuke savait déjà que ce jour la, ce ne serait pas sa lame qui applaiquerait la sentence finale...mais le feu. Il voulait les voir brûler, les entendre hurler comme on l'avait forcé à écouter sa petite soeur et sa mère. Il attendait ce jour...patiemment...dans l'ombre...

" De la chance hein? Je ne sait pas.... "

Répondit il en se redrescent. il soupira et rangea l'arme dans son fourreau. Il ne s'en séparait jamais. Il fixa les trois anneaux métaliques de son fourreau à sa ceinture et enfila son long menteau noir et blanc par dessus, la camouflant à merveille.

" D'accord... "

» Hashiro Kaisen [Validé par Kyosuke]
» Mince...j'suis perdue [Hashiro and me]
» "Je suis la Directrice." [Hashiro Kaisen][Terminé]